Découvrez ce dossier sur la psychologie communautaire, une thématique plaçant la justice sociale au cœur de la pratique en proposant des solutions collectives et inclusives face aux inégalités en santé mentale et au manque d’accès aux soins. 

La santé mentale varie selon la position sociale, avec une prévalence plus élevée des troubles chez les populations défavorisées. Ces inégalités résultent de facteurs sociaux et structurels évitables. Les psychologues ont un rôle clé à jouer pour favoriser l’équité en adaptant leurs interventions et en soutenant les personnes marginalisées.

Face à la précarité grandissante, voyez comment la psychothérapie s’invite là où vivent les plus marginalisés, en misant sur la relation humaine, l’écoute sans jugement et des cadres souples ancrés dans le communautaire.

En psychologie communautaire, l’évaluation n’est pas qu’un outil technique, mais un levier de transformation sociale. Elle permet d’analyser les interventions en tenant compte des inégalités, des dynamiques de pouvoir et des savoirs vécus. Participative et émancipatrice, cette pratique vise à renforcer le pouvoir d’agir des groupes marginalisés et à soutenir une justice sociale durable.

La psychologie communautaire de proximité soutient les jeunes en grande précarité en favorisant justice sociale, collaboration et respect éthique, malgré les défis liés à la marginalisation. Apprenez-en plus sur cette approche.

Née de luttes sociales, la psychologie communautaire au Québec s’est construite autour de valeurs de justice, d’équité et de solidarité, en misant sur la force des communautés pour transformer les réalités sociales. Découvrez-en plus sur l'histoire de cette branche de la psychologie.